Dans son livre, On a 20 ans pour changer le monde (Larousse, 2018), Maxime de Rostolan met en avant deux arguments qui forment la matrice justificatrice de ses actions : la nécessité d’un changement d’échelle et la vertueuse responsabilité sociale des entreprises. Mais à l’heure où les alternatives agricoles et alimentaires gagnent en crédibilité devant les dégâts du modèle agro-industriel, faut-il « changer d’échelle » en s’alliant avec l’agro-industrie et la grande distribution pour réussir la « révolution agricole »? Décryptage de l’aporie de cette conception de la transition.
Lire l’article complet de Léo Coutellec paru le 19 juillet dans la Revue Terrestres (revue des livres, des idées et des écologies) :