Violon amplifié avec pédales d’effet pour chercher le « GROS SON », ou bien dans la plus simple expression acoustique, avec également quelques moments à la flûte traversière. Olivier Pornin mêle dans ses compositions et improvisations une palette sonore contrastée,
souvent teintée d’Orient, parfois vive et lumineuse,
parfois plus sombre…
Né de l’univers des mots, autour de conteurs et lecteurs, ce solo raconte, comme un recueil de poèmes, un journal de bord.