La Ferme de la cocotte d’or – Elevage de poules pondeuses bio et verger conservatoire en agriculture paysanne et biologique

Où trouver mes oeufs ?

Sur place au 28 rue de a gare à Mâlain

En période de confinement : mardi et vendredi de 16 h à 19h (fermeture exceptionnelle le samedi) / Possibilité de commander via les Paniers de la Tourniquette pour le vendredis (le lien ici)

Sinon en AMAP : AMAP de la Chouette (Dijon), AMAP Les jardins de Virgile, AMAP de Velars, AMAP Colombière, AMAP MJC Bourroches (Arrosoir des `Saveurs), AMAP de Pouilly en Auxois (Paniers Pollien), …

Un élevage à taille humaine, respectueux du bien-être animale et de l’environnement

Familière de la présence des poules quand j’étais enfant, j’aime la place de l’œuf dans la gamme alimentaire : bonne source de protéines animales sans être de la viande, l’élevage de volailles ayant un bilan énergétique soutenable, j’ai confirmé ce choix et entamé des premières démarches en rencontrant des agricultrices en février 2014. En septembre 2014, j’entame une formation agricole, le BPREA (Brevet professionnel de responsable d’exploitation agricole) puis je mets en place mon projet.

Aujourd’hui, ma ferme accueille 500 poules sur 1,4 ha. Les parcours des poules sont plantés d’arbres fruitiers de variétés anciennes et locales sélectionnées avec l’appui des Croqueurs de pomme et financés par la région Bourgogne Franche Comté , et plusieurs zones de friches. Un premier poulailler a accueilli en février 2017 un premier lot de 250 poules pour la production d’œufs extra-frais, certifiés bio par Alpes Sud Contrôle. Ce poulailler a été auto-construit avec l’accompagnement de l’Atelier Paysan et d’un charpentier, Emmanuel Clair de la SCOP Assobois. En 2019, deux nouveaux poulailler mobiles ont été construits pour accueillir 50 et 120 poules.

Contact : lacocottedor@mailo.org

Mon chemin vers les poules

J’ai quitté ma Haute Savoie natale pour Lyon où j’ai fait des études en Arts du Spectacle. Puis, j’ai poursuivi ma migration vers Paris pour des raisons professionnelles où j’ai aussi eu l’occasion de me former à la comptabilité. En 2007, après 5 années parisiennes, je suis revenue à Lyon avec l’envie de trouver plus de sens à ma vie en m’impliquant dans le milieu associatif. Là, j’ai rencontré le mouvement des AMAP, les coulisses de l’alimentation, le visage des paysans qui chaque semaine venaient livrer leur production, j’ai découvert leurs métiers, leur vie, leurs valeurs, leurs problématiques, le soutien qu’on pouvait leur apporter par notre engagement dans une AMAP. J’ai reçu un message simple : il n’y a pas assez d’agriculteurs en bio pour répondre à la demande de nos ventres soucieux de la qualité de notre alimentation, et les enjeux liés à l’alimentation vont bien au delà du simple fait « d’acheter à manger ».

J’ai commencé à rêver de m’inscrire dans une démarche d’installation agricole, j’ai formulé des projets, que j’ai mis de côté, le temps de devenir maman et de prendre soin des mes enfants durant leurs premières années. Pendant mon congé parental, l’idée de devenir agricultrice a mûri et j’ai choisi de m’associer aux poules pour produire des œufs en agriculture biologique.

Les actualités du projet poules

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